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Raid Black Mountain
 
Par degrécelsius, le 25/08/2006.
 
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- Statistiques -
 
Genre : VTT . CR consulté : 2663 fois.
 
 
 
Distance : 165 kms
Dénivelé : 4500 m+
Vit. moyenne : 14 km/h
Tps total : 00:00:00
Tps roulage : 00:00:00
Participants : DegréCelsius, FREDASS, patatrice, Flo31, papenoo, Fonf31, XIII, Rowel, Laurence .
 
Niveau :    Sportif
 
 
 
- Aperçus - Traces -
 
Fichiers disponibles :
Aucun fichier disponible à ce jour.
 
 
- Compte-rendu -
 
 
Il y a plusieurs mois, Apache avait discrètement lancé son idée de jeunesse d’une traversée de la Montagne noire, straight d’un bout a l’autre en VTT. Mouai ! Trop long ? trop galère ? trop compliqué a monter ? et puis quand? l’idée était restée au placard, chacun se contentant de rouler ici ou la, sur Soreze, sur Albine, sur Arfons, de crapahuter au Pic de Nore, de se la faire DH à Lespinassiere ou plutôt gros mollets à la ferme de Pistre … puis XIII a ressorti ce projet des cartons, en allant agiter savamment les papilles des bonnes personnes : j’ai nommé Apache et Roland !. Quelques coups de fil, deux, trois réunions chez l’un ou l’autre, des posts prise-de-temperature sur VV et Lpivtt et un sacré bon paquet d’heures derrière l’écran permettront de mettre concrètement sur pied la traversée de la Montagne Noire, versant Sud, pour relier Revel (31) à Minerve (34). Roland et Apache à la baguette avec Carto Explorer, les 3 topos IGN et leur expérience du terrain pour concocter une route potable, XIII pour les gîtes et les détails puis le raid sera fixé du vendredi 25 août au dimanche 27 août inclus. Les grandes lignes de ce raid sont vite décidées et l’expérimenté Roland drive parfaitement les opérations : le Vito de Patatrice servira de voiture-assistance, nous le conduirons chacun à notre tour, sur le tiers d’une journée, pour rejoindre les ravitos et les arrivées, nous nous poserons le soir dans deux gîtes d’étapes (l’un à Font-Bruno à 7 kms des Martys, l’autre à Caunes Minervois) enfin le Trafic de Fonf, dit « le corbillard », initialement stationné a Minerve ramènera tout ce beau monde au point de départ. Pour la boustiffaille, Roland et XIII iront faire un plein de deux caddies. Au menu : du traditionnel, des féculents à gogo, des fromages qui puent et … du rouge ! Nous serons 9 à pouvoir participer : Roland et Laurence, XIII et Fred son beau-frère, Degrecelsius, Papenoo, Flo31, Patatrice et Fonf. Apache sera contraint de tristement bâcher à cause d’une vilaine fracture acromio-claviculaire qui reste handicapante. Le site d’Heretic fait merveille, nous frôlons les 200 posts pour bien s’organiser, tout prévoir et se chambrer un poil, surtout lorsque Fred le routard Champenois pointe le bout du nez et ses 5 kgs de trop (ah bon ?) ! Papenoo et Laurie, son épouse, se proposèrent gracieusement d’accueillir l’équipée sauvage sur Revel, manière de ne pas décoller trop tardivement le matin. Patatrice nous rejoindra pour le petit noir du matin, à peine rentré de ses vacances. La soirée sera parfaite pour souder l’équipe et commencer à prendre la mesure de ce raid. On parlera longuement de VTT évidemment entre le pastis/olives, un fabuleux blanc liquoreux emmené par Degre. qui accompagnera pile-poil le foie gras made in Landes de Fonf. Gros plat de pâtes au confit de canard (dont chacun s’empressera de garder la recette) et final au champagne Rémois de Fred. La nuit sera courte, chacun vaquera à ses occupations : calibrage du GPS, prises de côtes sur le biclou, un peu de popotte pour le lendemain … avant d’aller enrouler la viande dans l’torchon ! Vendredi 25 août C’est vers 8 h 30, après un consistant petit-déjeuner, que nous chargeons le Vito … ras la gueule ! Glacières de provisions, sacs de fringues, matériel, le mulet de Roland … nous partons chargés comme des baudets ! Chacun y va du réglage ultime de son spad, « pschitt » de lubrifiant, les réglages de Fred sur le Lapierre x-control alu prêté gentiment par Papenoo et c’est vers 9h15 après la photo de famille que nous déroulons les premiers braquets dans les rues de Revel sous un soleil, comment dire ? … bien timide ! Zigzags au dessus de Revel pour aller chercher le lac de St-Ferreol, sous l’œil bienveillant du gardien des lieux : Papenoo. La petite montée se fait par un joli causse, sur une monotrace qui nous emmène très vite aux rives du Lac. On contourne tranquillement pour enquiller le fameux chemin des Amoureux, parallèlement au GR7. C’est un bonne entrée en matière, on passe de 350 à 600 m. d’altitude, par le sud de la foret de l’Aiguille. Premiers coup-de-cul et premières rocailles, que nos « semi-rigidards » apprécient … un peu ! Nous montons à l’Adroit pour redescendre sur Les Cammazes sous un ciel dramatiquement moutonneux. Hop ! C’est là que Papenoo nous laissera pour revenir à Revel chercher le Vito. Nous prendrons le GR7 pour faire le tour du Lac des Cammazes et prendre une vilaine averse, que Laurence appréciera moyennement. Le terrain pompe vite, la piste est détrempée mais on garde le sourire, les lunettes sont rangées a cause de la buée et les vestes de pluie sont de sortie. Nous roulons bien groupés, à un rythme suffisant pour tenir la conversation mais on sent bien que Fred a des fourmis dans les jambes. Jeune impétueux va ! C’est au barrage du Lampy que nous retrouverons Papenoo pour la pose déjeuner. La pluie s’est miraculeusement arrêtée, nous laissant prendre notre repas « presque au sec ». Il fut copieux avec une salade de pates, le jambon, le tout bien arrosé par le petit Gaillac qui va bien. Quand il s’agit de reprendre les chemins, c’est Laurence qui décide de prendre le Vito (la pluie ce n’est pas son truc, et le ciel n’a rien d’engageant). Celle-ci (la pluie) ne nous laissera même pas le temps de grimper sur nos destriers. Elle va nous accompagner, de plus en plus forte pendant toute l’après-midi jusqu’à recevoir de véritable seau d’eau sur la figure. Les meilleurs vêtements de pluie sont trempés, nous sommes mouillés jusqu’au os. Heureusement la température reste clémente et le parcours à dominante grimpette : pas le temps de refroidir. Les quelques chercheurs de champignons que nous croiserons nous auront sûrement pri pour des bargeots ou des égarés du feu Raid Gauloise ! Nous déboulons à toute berzingue et sous des barriques d’eau au gîte tant espéré de Font Bruno (850 m. alt), à coté du mémorial du Maquis.Le plafond est bas, ou plutôt sommes nous dedans, car les nuages balayent l’horizon. Le gîte s’apparente à un corps de ferme prolongé d’un grand réfectoire genre le Pensionnat de Chavagne, si vous préférez. Et dire que des affichettes indiquent « économisez l’eau, la source qui alimente le gîte est au plus bas »…plus maintenant ! A première vue, c’est pas le confort moderne mais la grande salle, pourvue d’une cheminée, de grandes tables et d’un immense étendoir a linge suffisent amplement à notre bonheur, pov’ éponges que nous sommes. Pas une minute a perdre, nous balançons nos frusques liquides et boueuses sur l’étendoir, direction une bonne douche chaude, façon footballeur du dimanche. Ah quel pied !!! Fonf fera flamber un bon feu revigorant, autour de Leffe, de pastis et de coca pour Fred. Nous profitons de ce moment peinard pour refaire un peu le monde et discuter pas mal VTT. L’ambiance est très pepère, et nous apprécions les sweats ou les polaires. Au programme, pasta party élaborée par Papenoo, Degre. et XIII, chacun toutefois s’inquiète à la vue des affaires qui ne sècheront de toute évidence jamais. Ça promet ! La fin de soirée sera consacrée aux réglages des spads pour les uns et à de longues conversations pour les autres : « pschitt » de lubrifiant wet et un peu de câblerie avant de décider les derniers à rejoindre leurs pénates dans une piaule à lits superposés façon CE2 dans les années 50. Ça ne partira pas en bataille de polochons ! Samedi 26 août Réveil a 8 h 00 pour un petit-dej’ généreux, la tête un peu dans la culotte et une légitime appréhension après la sauce d’hier … bof, la sinistre brume matinale n’invite pas à la balade ! Les cuissards sont humides et empreints d’une vieille odeur de fumée, bref c’est à la roumaine que nous fignolons un dernier coup nos biclous avant de clipser les chaussures … humides, naturellement. XIII prendra le premier relais du Vito, jusqu'à Sainte-Sabaille, RDV du ravitaillement après une petite vingtaine de kms. Le sentier peu marqué et le terrain humide nous convainc d’emprunter la piste forestière plutôt que de jardiner à tout va. Les premiers rayons de soleil pointent leur nez, le vent violent venant du Nord est annonciateur du beau temps à venir. Au terme d’une longue grimpette nous croisons enfin le GR7 pour nous engouffrer sur un joli single descendant mais pierreux et glissant. Nous sommes à présent sur le circuit n°4 du sîte VTT du lac de Montagnes. La descente qui suit est très technique et cassante, Fredass y laissera une chambre en voulant suivre le rythme endiablé de Rowel et Fonf qui mènent la dance. Voici St-Saraille, XIII nous attend dans le Vito pour un premier ravitaillement. Quand il n’essaye pas de grapiller quelques miettes, un vieux Labrador singlé poursuit tous les 4x4 qui passent sur la départementale et fait le spectacle !!! Le repas du midi est prévu au lac des Pradelles, et Fonf se colle à la navette en descendant la vallée de l’Orbiel sur une route qui ressemble à la Haute-Corse avec ses villages fleuris accrochés dans la roche et aussi ses innombrables virages… Petit check météo au sommet du Pic de Nore, passage incontournable du raid. Pas de bol c’est bouché et le vent violent est glacial à 1200m d’altitude. On effleura donc le mythique sommet cet AM en évitant au passage 6kms de longue ascension dans le mauvais temps. Les raideurs arrivent enfin, cette 2ème section ayant été plus éprouvante que ne le laissait présager la carte. Patatrice manque à l’appel ; il a loupé la bifurquation est allé rendre visite aux descendeurs de la manche de DH qui se court ce WE. Le déjeuner copieux est l’occasion de reprendre des forces après une matinée ardue. DegréC récupère la Vitomobile. C’est reparti pour une grimpette digestive en direction du Mont Sarrat. Là, d’anciennes glacières construites au XVIIIème siècle et taillés dans la roche étaient alimentées par les neiges du Pic de Nore. Transportée sur des carrioles qui empruntaient des chemins périlleux, elles permettaient de fournir la précieuse glace à tout le bassin de Carcassonne et même au-delà. Photo souvenir au pied des géants aux grandes pales qui tournent à plein régime .Pas de doute le parc éolien est implanté au bon endroit ! L’équipée sauvage plonge à toute vitesse sur le GR36 qui devient de plus en plus accidenté. Parsemé de gros cailloux et de marches plus ou moins hautes, le single est rendu difficile car le vent qui fouette les crêtes n’a qu’une envie : nous balancer dans le gaz qui est à portée de roue. Au pas de Monserrat la vue est imprenable mais le sentier devient de plus en plus technique et trialisant, l’occasion de repousser un peu ses limites et celles de son spad. Justement, dans un passage un peu « chaud » les SR vont enchainer les OTB et autres figures improbables. XIII et Flo mordront la poussière, puis Patatrice nous gratifiera de « la tôle » du raid : suspendu dans le vide par son cuissard, la castration est évitée de justesse !!! Flo croit enfin apercevoir la mer : plus très lucide le garçon ! Par la suite la prudence sera donc de mise, à l’image de Laurence qui, imperturbable poursuit son bonhomme de chemin sans aucun bobo. Azimut plein Est pour contourner le Roc de l’Aigle. Le single est toujours aussi technique et redevient rapidement cassant après la cabane qui annonce la dernière rampe pour déboucher sur Cabrespine tout proche du fameux gouffre. Il est déjà bien tard, et nous décidons de nous séparer en 2 groupes : les plus motivés décident de s’attaquer à 4kms et 350m de D+ supplémentaires, tandis que le gruppetto part installer le « bivouac » au gîte en empruntant la route. La montée sera longue, ponctuée de quelques accélérations « Pantaniennes » de Fredass, vite ramené à la raison par les pourcentages qui ne cessent d’augmenter. Feu c’est parti pour la dernière descente du jour. La barre à gauche mon capitaine, si si c’est bien par là que nos GPS nous envoient, sans eux on aurait sûrement raté l’entrée du chemin peu visible à l’allure où nous descendions. Le single qui mène au « Bidaut » nous aura fait quelques frayeurs. D’ailleurs on aura un temps cru avoir perdu notre FLo dans le ravin ! Certes la longue ascension à laissé des trace, les mollets sont durs, mais quel pied d’avoir enquillé un sentier descendant qui n’était pas sans rappeler le Roc de l’Homme : une belle tourbe pour faire office de sol, de la pierre, des marches et des épingles à flanc de ravin ! Chacun s’en est donné à cœur joie … à son niveau. Shuss jusquà Caunes-Minervois. C’est vers 19 h 30 que Fonf, Rowel, Fred, XIII et Flo rejoignent le grupetto-bitume au gîte d’étape de Saint-Genes, au centre de Caunes Minervois. Les propriétaires du gîte, une dame et un chasseur convaincu, nous accueillent agréablement avec un apéritif du cru, des vins de producteurs locaux du Minervois et des toasts à la tapenade. Nous filons ensuite, à pattes, au très wild restaurant de l’Argent Double, ou nous attends une table et le menu réservé par Rowel (16 eur.). La cuisinière en chef (sublimissime blonde, cheveux gras plaqués au peigne, lunettes gros foyers et un déhanché de tous les diables … burps) emmène une copieuse assiette de crudités/charcuterie, puis un sauté de veau/gratin dauphinois/haricots, fromage et gâteau glacé qui nous requinquera largement. Après des contingences matérielles et financières, nous ne traînerons pas trop pour prendre du repos, la journée fut quand même bien chargée. Dimanche 27 août Le petit-déj’ est servi à 8 h 00 pétantes, en tenue fringante et avec un grand sourire : le ciel est bien bleu et ensoleillé ! Niquel ! Nous faisons un point sur la participation de chacun (95 eur. tout compris), astiquage rapide des biclous, deux coups de clé allen, réglages des GPS … les manches courtes sont de sortie ! Rowel nous annonce une sortie roots et sans doute un peu de jardinage, basée uniquement sur un repérage Carto et les conseils avisés de Tracks. Nous partons confiant et c’est Flo qui se colle au Vito. D’emblée, pas le choix, ça va crapahuter ferme ! Le paysage qui s’offre à nous est typique de l’arrière pays Méditerranéen, végétation aride, quelques vignes, des cyprès, du genièvre, des épineux et de la rocaille. Le dénivelé sera positif un bon bout et les semi-rigidards auront droit à une session « digestion-de petit-dej’-contrariee » en franchissant un chemin sinueux, hyper pierreux et accidenté qui demandera du cuissot, une bonne technique et de l’équilibre. Ça tabasse et ça griffe fort, on pose tous un peu le pied mais nous apprécions tous ce ride … tandis que la montée se profile dangereusement entre les carrières. Tout à gauche pour la première grosse suée de la journée, les puls. sont mises à contribution ! Nous gagnons enfin le plateau. Un chemin de crête nous emmène en bordure de falaise au détour d’une ancienne mine de manganèse abandonnée. Dommage le single est un cul de sac et les 200m de vide qui surplombent Félines-Minervois sont peu engageants. On s’en tiendra donc à la trace GPS qui nous indique que le bon chemin est quelques centaines de mètres plus haut. D’abord cassant à souhait et bien pire que la voie romaine qui monte au col des Arres , le sentier qui quitte « la Planette » se transforme rapidement en single de rève sur plus de 2kms de descente magique à flanc de falaise. Seul Rowel se lancera à franchir, avec succès, les dernières grosses marches qui débouchent sur la route : chapeau bas. Nous arrivons au lieu dit « l’Abeuradou » et en regardant tout autour, c’est sûr ça va grimper sévère. 4Kms et 470m de D+ avalés d’un coup, les moteurs sont en surchauffe en arrivant sur le pla comme on dit en Ariège. Le paysage est encore différent et verdoyant, les alpages alentours portent encore les traces du gros incendie de l’été dernier. Nous trouvons facilement notre route en direction du Pech de Mégé. Plongeon sur un single sautillant et piègeux ou Rowel pincera à l’AR. Cassagnoles nous tend les bras, et l’on retrouve Flo qui profite du soleil sur la place du village envahie par les chasseurs et leurs 4x4. C’est l’heure de l’apéro puis du banquet avant de repartir pour la battue de l’AM. 93ans c’est l’âge du doyen qui traque encore le sanglier, pas sûr que le bonhomme fasse encore la différence entre l’homovététus et le gibier vu sa conduite…un peu « hasardeuse » diront nous ! Le dernier repas avec la troupe au complet sera savouré au soleil. La glacière de XIII sera sauvée in extrémiste de l’abandon sur place, mais qui a pu acheter un fromage qui pue autant ? Cela sent l’écurie pour XIII et Fredass qui doit prendre l’avion pour rejoindre son grand Nord glacial. Les beaufs accompagnés de Patrice tracent direct sur Minerve avec le Vito. La fatigue aidant, nous décidons d’alléger le parcours de l’AM pour éviter toute mauvaise aventure en terrain inconnu. La pente se fait maintenant plus douce et le chemin plus large., l’occasion de profiter du paysage atypique constitué de canyons profonds et arides. Le roulage se fait en bordure de gorges, les randonneurs pédestres de plus en plus nombreux semblent indiquer notre arrivée prochaine à la fin de notre aventure : Minerve. Pari gagné, c’est l’heure de la photo souvenir et de la petite mousse qui va bien, à l’ombre cela va de soit. Nous regagnons Azillanet où le Trafic est stationné sur le parking du village. Tout est chargé rapidement dans les 2 fourgons direction Revel point de départ 3 jours plus tôt. Que de chemins parcourus, que de paysages différents en si peu de temps ! La montagne noire est belle et sauvage, elle offre tout cela à qui prend le temps de la découvrir et sait dompter les caprices de la météo si fréquents dans ce massif au régime climatique si particulier. En conclusion ce fût un grand WE sportif et convivial où chacun aura su partager sa passion et découvrir un bien beau coin de notre petite planète. Un grand merci à tous ceux qui ont parfaitement préparé ce raid, à Papenoo et sa femme pour l’accueil à Revel à Heretic et son site fédérateur, à tous les participants pour la bonne humeur contagieuse dont ils ont fait preuve durant ces 3 jours.
 
 
- Aperçu des photos -
 Diaporama (20)    Haut de page
Prêt pour le départ  (0)
Au porte de Revel, déjà les chemins  (0)
Vers le lac de St. Ferreol  (0)
Regroupement suite à un magnifique single en sous bois  (0)
Aprés avoir essuyer une bonne pluie, le repas au sec  (0)
Arrivés bien humide le vendredi soir au gîte  (0)
Samedi matin première pause  (0)
Samedi après-midi sur territoire cassant  (0)
XIII admire le paysage  (0)
Patatrice en pleine forme ... plus pour longtemps  (0)
Facile  (0)
C'est passé prêt !!!  (0)
Dimanche matin, un bon petit déjeuner  (0)
Bien cassant à souhait  (1)
Mais quel bonheur ensuite  (0)
Que c'est bon  (0)
papenoo s'applique  (0)
un aprés-midi plus roulant  (0)
Les derniers kilomètres  (0)
Nous voici arrivés  (0)
 
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