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TransV 2013 par 2000d+
 
Par 2000d+, le 19/05/2013.
 
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- Statistiques -
 
Genre : VTT . CR consulté : 3442 fois.
 
 
 
Distance : 80 kms
Dénivelé : 3000 m+
Vit. moyenne : 8 km/h
Tps total : 11:16:00
Tps roulage : 09:45:00
Participants : DAWG, PHILIGN, PAX, CYRIL11, ...LA NEIGE, ...LA BOUE, ...650 NIGAUDS .
 
Niveau :    Engagé
 
Physique :
Technique :
Paysages :
Fun :
  Moyennes sur 1 note(s).
 
 
- Aperçus - Traces -
 
Fichiers disponibles :
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- Compte-rendu -
 
 

Je suis passé à la TV

 

1.     Prologue

2009 : la TV, c’est quoi ? Pffff, t’es con ! Jamais pour moi !

2010 : la TV l’an prochain mais sous toutes réserves

2011 : la TV, 11h10 plus jamais ça !

2012 : la TV, le guidon tordu, la selle qui tombe, les roues voilées, 10h20 même pas fatigué

Objectif 2013 : pas de mécanique et pas plus de 9h

2.       Le ‘’Avant’’

Compte tenu d’une météo très défavorable cette année, l’entrainement commence péniblement en janvier mais sans pression particulière car j’avais conservé un minimum de fond depuis cet été pour la transbiking 66 de septembre. Il faut dire que la météo de cet évènement avait été assez proche de ce qu’on a connu le samedi sur prologue avorté.

Je peine un peu à perdre du poids avant mars mais je réussis finalement à me préparer correctement avec 6 kg perdus en presque deux mois et de bonnes sensations en descente. J’ai suivi un régime de chrono-nutrition comme Jérôme qui me permet non seulement de perdre du poids mais aussi d’améliorer mon sommeil. Je continue à suçoter quelques canons de rouge par convivialité. En effet, on se fait vite rappeler qu’il n’y a rien de plus chiant que quelqu’un qui ne boit pas lors des pinces-fesses.

Par rapport à l’an passé, j’ai changé de vélo, du blur LTC à 11kg9, je suis passé au blur TRC à 11kg9 ( !) mais avec des composants plus solides. J’ai viré les roues de xc superlight notubes pour des ST montées en tubeless (highroller ST 2.35, crossmark lust 2.10). Je suis finalement plus à l’aise avec ces roues et pneus gonflés autour de 1,7 bars. Ayant eu des problèmes avec la gravity dropper 10’’ lors des recos, je pique la kronolog 12.5 du semi-rigide. La différence de débattement se révèle avoir un impact très favorable sur ma confiance et mon aisance lors des franchissements.

A partir du mois de mars, j’ai consacré presque tous mes mercredi après-midi et dimanche matin à rouler en vrai vtt, avec du portage et des descentes techniques (Dourgne, Citou, Vieussan). La grande saucisse consent à m’attendre. On trouve une formule qui nous convient bien à Citou, je pars de Citou, lui d’Albine et on se retrouve à Cun San Marti. J’ai complété avec de la course à pied et du fractionné pyramidal sur vélo de route (6 séances).

J’arrive donc à Rimplas le vendredi avant la course sans pression particulière. La pluie prévue le lendemain m’agace un peu à cause de la boue. Non pas que cela me gêne de rouler dans la boue mais parce que ça salit !!!

Je passe le samedi matin à jouer au mécano qui a deux mains gauche avec Phil. L’annonce de l’abandon du prologue est un soulagement car cela va simplifier notre gestion des bagnoles pour l’après-midi. Sinon je l’aurais bien fait ce prologue.

3.       La Course Rando

Dimanche matin 4h, la grande Zoa nous sort du pageot. Je vous passe les ablutions d’usage. En sortant du chalet, je me prends un gros volume dans le noir avec les bagages dans les bras. Je n’ai pas encore commencé la course que j’ai déjà un coude en vrac !

Pimprenelle nous a tellement pressés que nous arrivons les premiers sur le parking de la Colmiane. Le départ aurait été décalé au lendemain sans qu’on le sache ? Merde non ! On s’échauffe rapidement. On rencontre Laurent Brossard qui a mauvaise mine et est très dubitatif sur les conditions que nous allons rencontrer. Au passage, certains s’entrainent déjà à tomber….sur le parking.

Au niveau sensations, j’ai encore les pates bolo de la veille à midi sur l’estomac et impossible de faire de la place dans la cantine avant le départ. Ça coince dans le couloir. Je devrais donc partir en surcharge. Qu’est-ce que je suis allé prendre des pates bolo, je ne mange jamais de pates bolo !

Placé à côté de moi en fin de première vague, Pax se prendre un coup de stress car il pense avoir oublié sa poche à eau dans l’appart. Il revient au bout de 5 minutes, il avait juste oublié de sortie de tuyau. J’espère qu’il ne fait pas pareil avec les filles ! Je commence à trembler comme une feuille, non pas de froid car je suis bien couvert, j’ai en plus prévu les pompes d’hiver étanches, mais de miquettes.

Pan, ça part ! Je démarre vers la chicane mais pourquoi vont-ils tous à droite ? Pourriture ! GE a rajouté des chicanes en montée où ça pédale dans la semoule. Comme un grand compétiteur que je suis, je n’ai même pas pensé à repérer le départ. Je passe la première à pied puis le reste se fait gentiment. Le rythme est plus viril qu’en challenger. J’arrive à me maintenir dans le milieu de la vague à la sortie de la station. Je maintien aussi mon rang jusqu’à la madeleine. Ensuite, c’est un peu plus compliqué. Malgré la magie de l’instant, la chaine de participants les pieds dans la neige, les flocons qui tombent, j’ai les jambes qui n’avancent pas. Ça doit être l’effet carte postale. Pourquoi ne resterais-je pas là à admirer le paysage ? Là où je cherche quelques filles en bikinis, je ne vois que types en collant. C’est quoi ce ballet ? Je suis contraint de laisser passer quelques gros moustachus qui commençaient à mer coller la pression sur l’arrière car je suis scotché à la neige, là où les autres n’ont que 15 cm, j’ai l’impression d’en avoir jusqu’à la taille. Je me fais larguer par Frejusantoine qui était repère de ma vitesse. J’arrive à l’Andrion très agacé par le fait de commencer à me faire rattraper par la deuxième vague et par ma tds qui souffre du froid. L’Antoine peste lui contre ses shimano qui digèrent mal la neige.

J’entame l’andrion à l’aveugle, de la buée de mes lunettes. Il faut donc accélérer pour faire de l’air car entre la buée et les projections de boue, la visibilité est faible. C’était pareil l’an passé. Le sentier est devenu un torrent mais bon cela m’amuse comme un gosse qui patauge dans une flaque avant de prendre une bouffe par sa mère. La sanction viendra plus bas avec une trajectoire aléatoire due à l’impression de ne plus avoir de freins qui se termine par une patte de dérailleur en vrac. Je suis assez content de ma descente fluide et à bon rythme avec quelques dépassements bons pour le moral.

Je répare au col des fournès en râlant. Les  10 min que je perds sont amplifiées par la différence de niveau que je constate lorsque je repars. Ça avance beaucoup moins vite. Les gars sont moins à l’aise. Ça commence à me faire flipper pour la descente du Brec pour laquelle je redoute l’heure de pointe. Je perds encore 5 minutes à rattacher mon dossard qui veut abandonner (déjà !). Je profite du portage au col de gratteloup pour faire l’effort de me dégager de la meute et pareil en haut du brec où je ne commence pas à faire salon et à prendre des photos. Les japonais ont sorti le Canon et ça mitraille. Ils ne viendront pas pleurer lorsqu’ils se feront triquer par le portier du Pont de Cros. La partie trialisante se passe sans prendre (trop) de risques et me permet de me dégager des quelques participants en perdition avant la partie roulante. Là je me régale ! Les recos ça a vraiment du bon  et notamment sur la décontraction. Je reste courtois sur les dépassements, lesquels sont apparemment plutôt bien acceptés par les dépassés. J’enquille la suite du col du castel ginesté sur un rythme élevé mais avec toujours une marge de sécurité minimal. Le travail de cet hiver porte ses fruits. Depuis le haut, j’ai dû doubler une quinzaine de concurrents. Puis, c’est le drame ! Je crève de l’arrière. Merde ! Je n’ai pas crevé depuis 9 mois, je n’ai pas crevé aux recos, je n’ai pas crevé à Citou, je n’ai pas crevé à Olargues, je n’ai pas crevé lors de mes deux TV précédentes alors que j’étais en pneus à 600g ! La tringle du crossmark a chargé. Démonter un tubeless avec de la boue plein les mains, c’est un régal. C’est comme aller à la selle avec pour conclusion un « iléou le papier ? » Je mets 15 minutes pour réparer (une éternité). Etant positionné hors du chemin mais à  un endroit un peu technique, les gaziers qui passent sont souvent à la faute (je dois les déconcentrer). Ils  se gaufrent, ils s’engueulent. J’aurais pu rester plus longtemps, faire un film, mais j’ai encore de la route, je ne suis pas du coin.

Utelle, ça c’est bien. Je frime un coup en passant la marche devant les supportrices en pamoison. Putain, il est 10h20 ! C’est 20 minutes de plus que l’an passé ! C’est mal barré pour les 9h

Au pied de la madone, je me rends compte que je n’ai rien mangé depuis le départ : ça sent l’hypoglycémie ! Du coup, je glande un quart d’heure là-haut pour me refaire la cerise à la powerbar (saveur vanilla).

Le début de la descente de la madone se fait avec l’olive au derrière tellement c’est glissant. Je réussis même à me prendre ma seule boite de la promenade et à pied s’il vous plait ! Je dois faire tellement d’huile que ça me coule sous les chaussures.

Au col d’ambellarte, je me signe en repensant à ma selle qui s’était fait la malle l’an passé à cet endroit et à la providence qui me suivait ce jour-là en la personne de Pascal du club de Levens.

A partir du col de la moutète, je relâche les chevaux. Même constat que précédemment, je descends plutôt bien (par rapport à moi-même) et je me dis que finalement je vais conserver ce vélo encore un an. Il n’y a pas grand monde et cela ne bouchonne pas ou sinon j’arrive à doubler toujours avec courtoisie. Un peu avant la borne 98 : Pschiiit ! Quoi pschiitt ! merdeuhhh !!!!!! Encore crevé ! Là je passe 25 min pour réparer. Bon score. Là encore, j’ai bien choisi l’endroit pour faire du tourisme car il y a une marche qui pose des problèmes à pas mal de monde. Touché par la grâce et par l’impossibilité de réaliser le temps que je m’étais fixé, je me dis : « bof ! Tout ça n’est que superficiel ! Je vais rentrer à la maison, je n’ai plus rien à prouver ». Il y a surtout que je venais de me faire doubler par Philou qui avait sournoisement profité de mon avarie.

Je finis par redémarrer en ayant au préalable appelé mon assistance pour la prévenir de me récupérer avec l’hélicoptère à Pont de Cros pour une exfiltration discrète.

Mon assistance, c’est ma mère, 70 ans qui vient surveiller que son grand fils de 46 piges ne va pas se faire bobo. La même qui deux ans auparavant, devant ma mine défaite en haut de la montée de la déchèterie, me sort un « t’as vu ta tête, tu devrais arrêter». N’ayant jamais écouté ce qu’elle pouvait me dire et d’autant plus aujourd’hui, j’avais compris « tu vas te bouger le derche merdeux et finir cette p… de course !»

Je me colle au petit train d’un groupe d’explorers, moi le plus nase des performers. A la différence que moi je suis encore pleine bourre à force de me reposer tous les mètres. Je double et redouble (ma seconde et ma première) et commence à discuter de la forme des nuages avec les quelques lucides qui restent. Il y en a, en définitive, plus beaucoup. Les discussions étant d’une portée intellectuelle limitée, je pars en éclaireur voir si devant ils sont plus réveillés.

Je rejoins Philou à Pont de cros vers 13h15 lequel en est à sa septième MuleBar (saveur boles de picoulat). Je suis finalement déçu d’être encore en course. Je vais devoir continuer d’autant plus que ma mère n’avait rien compris et m’attendais à Levens. Je reprends Philou parti 5 minutes avant moi et fini 5 minutes avant lui à Levens. Je l’attends en me disant que je vais finir avec lui. Ouais j’ai changé d’avis ! Je ne suis pas venu ici pour abandonner alors que j’ai encore rien branlé de ma journée.

Le train (jaune) du Philou m’agace vite et je décide de le laisser entre copines. Je me remets aux affaires car, même si le parcours a été raccourci, il reste encore quelques montées mais finalement pas tant que ça. J’arrive rapidement et assez chaud pour attaquer la descente de colla bassa. Là encore je me régale. Pour moi, c’est comme si c’était sec.

« Plan d’arriou, dernière porte horaire, tout le monde continue ! » annonce le chef de gare. Je rencontre Jéremy81 vers Molières et on roule ensemble jusqu’à Aspremont. Le portage du Mont Chauve est une formalité car les pieds dans l’eau, je m’y étais déjà entrainé l’an passé sous l’orage. Je l’attends avant Zongo. Zongo a été ma bête noire des deux années passées mais aussi lors des reconnaissances. Je n’aime pas, je ne sais pas pourquoi, ça doit être le nom. C’est quoi ce nom pourri ? Là aussi, un miracle se produit, j’y suis comme à la maison. Tout s’enchaine gentiment, sans forcer, sans risques, sans me faire pourrir. Ah ben non, ça n’est pas comme à la maison ! hum !

Arrive la jungle, toujours aussi merdique, sauf la rampe qui était propre. La concierge avait dû faire le ménage peu avant.

Ça sent l’écurie. Quelques crampes me viennent dans la jungle mais elles passent rapidement. A saint André, je me colle dans l’aspiration des grosses cuisses et pareil dans le tunnel.

17h39 c’est l’arrivée. « Même pas fatigué » j’avais déjà dit ça l’an passé ! Le gégé qui braille ! Ça aussi c’est comme chaque année, voire même c’est tout le temps. Bon c’est fait ! Je ne reviendrai pas en mode course !

4.       L’Analyse

Au final, je me dis que cette année, c’était plus long en temps du fait des conditions de roulage mais c’était beaucoup plus accessible que les autres années. Les portes horaires étaient aussi plus larges à partir de pont de cros. C’était pour moi moins éprouvant car beaucoup de temps a été passé à côté ou sous le vélo. C’était finalement plus accessible. La preuve en est qu’il y a plus de finishers cette année que l’an passé en nombre et, surtout, en proportion.

Les statistiques :

·         2011 : 426e sur 525 à l’arrivée et 1 000 au départ en 11h12

·         2012 : 225e sur 401 à l’arrivée et 900 au départ en 10h53

·         2013 : 334e sur 445 à l’arrivée et 650 au départ en 11h16

 

5.       Là où je philosophe

La réflexion sur moi-même est  un passage obligé dans ce type de longue épreuve. C’est comme aller à confesse au moins une fois par mois à partir de la quarantaine alors que c’était plusieurs fois par jour à 20 ans.

Je ne suis finalement pas dans la compétition mais dans le plaisir de rouler.

La TV est pour moi une grosse promenade qui demande de l’engagement et de la résistance. C’est d’abord une course contre soi. Une fois qu’on a surmonté ses propres lacunes et difficultés, cela peut éventuellement devenir une course contre les autres mais ça c’est une autre histoire que je laisse à Jérôme (Dawg) le plaisir de raconter.

6.       Les remerciements

Je ne remercie personne afin de ne pas vexer ceux que je pourrais oublier.

7.       Signez-là !

J’incite donc tous ceux que je vois graviter sur LPIVTT à tenter l’aventure. Si moi, j’ai le niveau, beaucoup d’autres en sont capables. Je parle de finir. Claquer perf’, je me garderai bien de tout pronostic.

 

 
 
- Aperçu des photos -
 Diaporama (7)    Haut de page
les gaianes  (0)
2 le brec 1  (0)
5 mont chauve (zongo)  (3)
3 au dessus d'Utelle  (3)
1 Défilé dans la neige. Je suis tout à droite.  (3)
6 Arrivée  (5)
4 Sourire dans le mont chauve  (3)
 
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Commentaires et réactions
 
 
 
 sulki31
 Le 28/05/2013 à 06h54.

Si je trouve un vélo  qui va bien, je m'y colle...

J'ai dis trouver, pas acheter...

Ca réduit le risque.

 philign
 Le 25/05/2013 à 22h45.

c'est clair que Frem doit y aller , ne serait-ce que pour nous pondre une pépite !!!

un CR à la Frem ,    vite !!!!

 jetfx1
 Le 25/05/2013 à 21h10.

CR d'expert effectivement, Superbe !!

Salutations au pilote d'hélico ;-)

 cyril11
 Le 25/05/2013 à 12h20.

Du mental ,surtout dans ces conditions, bravo pour ton classement DAWG

 apache31
 Le 25/05/2013 à 11h30.

Super Cr. Avec le soupçon de "décalé" comme il fautWink.

Re-bravo d'avoir osé affronter ces conditions pénibles.

 dawg81
 Le 25/05/2013 à 00h01.
Il faut du mental pour faire la TransV ;-)
 2000d+
 Le 24/05/2013 à 23h57.
Attend que Sylvain s'y colle
 dawg81
 Le 24/05/2013 à 23h34.
Putain à l Abdm nous sommes des vrais poètes ! Ton CR, celui de Phil et le mien sont désormais mes livres de chevet ! ;-) certains naissent compétiteurs et d autres non ! ;-)
 Frem
 Le 24/05/2013 à 21h28.

 

Ou Audiard fait du vélo....

Chapiteau.

 

Tiens, pour bédéphiles avertis :

zongo

 

 cap2_65
 Le 24/05/2013 à 20h36.

Bravo pour le récit!

Et belle motiv pour avoir eu le courage de se préparer à une telle épreuve avec les conditions climatiques pourries des mois précédents.

 spartacus
 Le 24/05/2013 à 16h04.

Respect pour nos Héros .

 spartacus
 Le 24/05/2013 à 15h56.

Respect pour nos Héros .

 lasouque81
 Le 24/05/2013 à 15h31.

Joli CR, j'ai du te doubler à un moment mais je ne sais pas quand!!!

Et bravo de n'avoir rien laché malgré les conditions et malgré tout ces ennuis méca...

 philign
 Le 24/05/2013 à 15h30.

derrière mon écran d'ordi

 patatrak
 Le 24/05/2013 à 14h50.

même pas fatigué....pas de bobos à cause du véloLaughing...royal...encore un beau récit. Bizarrement temps assez similaires d'année en année, malgrès des conditions de roulage différentes...bizarre. euh....phil...t'es ou???Wink

 Yves100
 Le 24/05/2013 à 14h18.

Bon on se régale à lire les CR cette année encore. Parfois, c'est presque aussi long que l'épreuve.... la lecture, mais on s'en lasse pas.
Bravo 2000d+, une autre belle façon d'aborder la TransV, la rando sport bien préparée malgré tout et y aller pour chopper le stoker en ajoutant un max de plaisir en plus, et sans trop le stress de la course.
Énorme (dans tous les sens du terme) cette épreuve, qu'on comprend réellement après l'avoir faite ou tentée.

 toxdisc
 Le 24/05/2013 à 12h49.

Bravo patron, superbe CR :) On s'y croirait :)

 PAX
 Le 24/05/2013 à 12h23.

ben moi qui a déchiré a un moment ou je pensé tout contrôler !j'ai mis au moi 2 heures a m'en remettre !(et encore Frown)je te félicite d'avoir jamais rien lâcher malgré tout ces soucis .une belle leçon de contrôle de soi .

     

 labeu
 Le 24/05/2013 à 11h54.

MERCI pour cette TV réalité Wink

GRAND moment Surprised

BRAVO à tous les finishers Smile

 JOJO31
 Le 24/05/2013 à 11h26.

Encore un CR de ouf ! Sensations en direct ! Respect encore une fois . Smile

 
 
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